Lors du 60e Salon International de l’Agriculture, l’Interprofession était particulièrement mobilisée, sur le stand de Terres OléoPro, la bannière collective de la filière, mais aussi lors de tables-rondes pendant toute la durée du salon pour mettre en avant les huiles et les protéines végétales auprès du grand public comme des professionnels.
Pour sa 60e édition, le Salon International de l’agriculture a fait carton plein, avec quelques 603 652 visiteurs. Comme chaque année, Terres Univia n’a pas manqué l’événement incontournable du monde agricole pour valoriser les huiles et les protéines végétales.
Terres Univia était présent durant toute la durée du salon sur le stand de Terres OléoPro, la bannière collective de la filière. Elle a, en particulier, animé le pôle éphémère le 24 février, avec une journée dédiée aux légumineuses, animée par Marie Dubot, chargée de mission en innovation. Deux start-up, Greendoz et Les frimeuses, ont pu faire goûter leurs produits à base de légumineuses.
L’Interprofession s’est mobilisée lors de différentes tables-rondes sur le plateau TV Village Semences de SEMAE. Benjamin Lammert, président de Terres Univia, a participé au Semence Mag autour de la thématique « Est-ce que les interprofessions ont leur raison d’être ? », arguant que « notre fierté c’est qu’avec l’innovation on arrive à créer de nouveaux marchés, des filières locales pour faire des légumes secs dans les cantines dans les différentes régions. ».
Laurent Rosso, directeur de Terres Univia, était, de son côté, mobilisé sur l’émission Poussons le débat « Plan protéines : la sélection variétale française sera-t-elle au rendez-vous ? », indiquant que « la variété de lentille française que nous cultivons date des années 1960. On se retrouve face à des verrous de compétitivité et de stabilité de rendement. Nous avons besoin d’innovation variétale. ».
Enfin, Françoise Labalette, directrice adjointe de Terres Univia, a participé à l’émission La cuisine du village qui avait pour thématique « Pourquoi y -a-t-il autant de colza en France ? Que fait-on du colza ? ». Elle a notamment indiqué que cette filière française dynamique est « construite collectivement pour développer des variétés, des techniques de culture et des débouchés, avec des producteurs mais aussi des usines capables de travailler les graines de colza. ».